Dans un tournant audacieux pour le cinéma, "28 Years Later" a été filmé sur un iPhone, exploitant jusqu’à 20 modèles en simultané. Ce chef-d’œuvre révolutionne la création cinématographique en démontrant le potentiel des technologies mobiles, repoussant les limites de l’art visuel et redéfinissant l’accès à la narration.
28 ans plus tard : un tournage révolutionnaire sur iPhone
Des rigs spéciaux pour capturer 20 iPhones à la fois
Le film tant attendu 28 ans plus tard, suite du célèbre thriller zombie 28 jours plus tard de Danny Boyle, se distingue par son approche innovante. Ce film, prévu pour sortir le 20 juin, a été entièrement filmé avec l’iPhone 15 Pro Max. En effet, la production a utilisé plusieurs modèles de cet appareil, exploitant des rigs spéciaux capables de tenir jusqu’à 20 iPhones simultanément.
Techniques de tournage innovantes
Pour réaliser certaines séquences marquantes, l’équipe a mis en place trois types de rigs différents. Le directeur des rigs iPhone a précisé que ces équipements sont conçus pour être facilement transportables. Le premier rig peut accueillir jusqu’à huit caméras, tandis que les autres sont capables de contenir respectivement dix et vingt iPhones. Boyle a révélé qu’une scène particulièrement saisissante utilise le rig de 20 caméras, offrant une perspective unique qui plonge le spectateur dans une nouvelle dimension d’horreur.
« C’est comme un bullet time pour les plus modestes », a déclaré Boyle, soulignant la flexibilité de ce système. Il permet de capturer des scènes sous différents angles, tout en offrant une liberté de mouvement lors des prises de vue en extérieur. Ce rig peut être monté sur des grues ou des dollies, ce qui le rend extrêmement versatile.
Une approche stratégique
Danny Boyle a souligné que le choix de filmer avec l’iPhone n’était pas une simple expérience, mais une décision réfléchie. Selon lui, en cas d’apocalypse, des enregistrements low-fi des horreurs seraient probablement disponibles. Ainsi, se basant sur cette idée, l’iPhone représente l’évolution moderne des caméscopes des années 2000, le choix parfait pour une suite qui se déroule 28 ans après les événements du premier film.
Impact visuel et narratif
L’utilisation des rigs de 20 caméras permet également de renforcer l’impact des scènes violentes. En offrant une vision à 180 degrés des actions, le réalisateur peut choisir à l’édition une perspective conventionnelle ou manipuler le temps et l’espace pour accentuer l’effet dramatique. Boyle précise que ces techniques visuelles sont particulièrement efficaces dans le genre horrifique, où chaque détail compte pour créer une atmosphère d’angoisse.
Le retour des infectés
28 ans plus tard s’inscrit dans la lignée du premier film tout en proposant une vision actualisée des défis post-apocalyptiques. Les personnages, confrontés à des horreurs inimaginables, naviguent à travers un monde dévasté, témoignant des effets durables de l’épidémie initiale. Le film explore des thèmes de survie, d’humanité et de résilience, tout en gardant une approche technologique novatrice.
Pour plus d’informations sur les techniques de tournage innovantes, n’hésitez pas à consulter cet article de IGN.

Des défis de production
Les défis rencontrés lors de la production de 28 ans plus tard ne se limitent pas uniquement à l’utilisation des iPhones. Le film a également été tourné dans des conditions variées, avec des équipes devant s’adapter en permanence à l’environnement et aux contraintes logistiques. Ce processus rafraîchissant a permis d’impliquer une équipe créative qui a su tirer le meilleur parti de la technologie moderne pour réaliser une œuvre captivante.
Une expérience immersive
L’approche unique de 28 ans plus tard, associée à l’utilisation des iPhones, promet de fournir une expérience cinématographique immersive. Les spectateurs peuvent s’attendre à des séquences visuellement époustouflantes qui capturent à la fois l’horreur et l’émotion d’un monde en désolation. Le film ne se contente pas de suivre le modèle de son prédécesseur, il repousse les limites de la narration visuelle en intégrant des techniques de pointe.
Cette production innovante prouve que le cinéma évolue constamment et que de nouvelles technologies, comme l’iPhone, peuvent redéfinir les méthodes de réalisation. 28 ans plus tard représente ainsi une étape majeure dans l’histoire du cinéma, mettant en lumière les possibilités offertes par les appareils mobiles.
Un tournage qui inspire
Le choix de filmer avec des iPhones pourrait inciter d’autres réalisateurs à expérimenter avec des technologies similaires. Cela pourrait également ouvrir la voie à une nouvelle génération de cinéastes qui cherchent à créer des œuvres marquantes avec des ressources limitées. Le succès de ce type de projet démontre que la créativité et l’innovation peuvent souvent surpasser les contraintes financières.
Anticipation des spectateurs
Avec sa sortie imminente, l’excitation autour de 28 ans plus tard ne cesse de croître. Les fans du premier film et les amateurs de cinéma attendent avec impatience de voir comment cette nouvelle approche visuelle se traduira à l’écran. Les teasers et bandes-annonces promettent une expérience cinématographique inédite, combinant horreur, suspense et esthétique moderne.
En somme, 28 ans plus tard ne se limite pas à être une suite, c’est une exploration audacieuse des possibilités technologiques dans le cinéma d’horreur contemporain. Les spectateurs peuvent s’attendre à un film qui défie les conventions tout en rendant hommage à ses racines.
Quelle est la particularité du film 28 Years Later ?
Le film 28 Years Later a été entièrement tourné sur iPhone, utilisant des rigs spéciaux pouvant contenir jusqu’à 20 iPhones à la fois.
Qui est le réalisateur de 28 Years Later ?
Le film est réalisé par Danny Boyle, qui a également réalisé le film original 28 Days Later.
Quand le film 28 Years Later sort-il en salles ?
28 Years Later sera projeté dans les salles de cinéma le 20 juin.
Pourquoi Danny Boyle a-t-il choisi d’utiliser un iPhone pour ce film ?
Boyle a choisi l’iPhone pour sa capacité à créer des enregistrements à faible coût, en imaginant que, dans un contexte d’apocalypse, des enregistrements de ce type seraient omniprésents.






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